vendredi 10 juillet 2015

Le Lycan Blanc, premiers retours

Deux mois après sa sortie, le Lycan voit arriver les premiers retours. Et (ouf !) c'est positif. Si, en discutant avec des lecteurs, j'ai eu droit à certaines réserves, comme des personnages ou des passages qu'ils auraient aimé voir davantage travaillés, mon premier roman semble plutôt apprécié.

Oncle Paul se fend d'une longue chronique :
(...) Les combats entre vipères, salamandres et autres animaux provenant d'un bestiaire fantastique ou mythologique, sont détaillés avec vivacité, brutalité, réalisme (...) La magie n'est pas en reste, dans cet univers de bruit, de fureur, de sang, et d'amours juvéniles (...) Phil Becker, une nouvelle plume à l'avenir prometteur !

L'ami Flynn, qui aurait préféré des phrases plus longues, a apprécié néanmoins :
(...) Becker a mis en place une intrigue et un voyage passionnant autour des origines de Corcinos qui prend ici une forme et de la profondeur. On est captivé dès le début et ce jusqu'à la fin. Le fait d'avoir écrit davantage de nouvelles permet à l'auteur d'utiliser son expérience pour rendre le roman passionnant dès les premiers instants. On est directement pris dans le feu de l'action. On a donc du suspense, des rebondissements, etc.

Lili de lilibooks, mystérieuse libraire de mon département (je n'ai pas trouvé de qui il s'agissait) a bien aimé :
(...) Becker offre des aventures dangereuses et initiatiques à son jeune loup-garou blanc, dans un exercice difficile : celui de créer un univers tangible à partir de la réalité. Pari tenu ! J'ai oublié la Catalogne où j'habite pour tomber dans la Katland avec plaisir !

Chez Phénix-Web, le lycan est passé "comme une lettre à la poste" :
Avec les Pyrénées pour décor, Phil Becker avait de quoi donner un souffle épique à sa plume, et il n'y manque pas. (...) L'auteur, nouvelliste déjà reconnu, ose prendre, dans ce surprenant univers où l'histoire est largement remaniée, des directions inattendues et les 220 pages passent comme une lettre à la poste.

Edit : Une nouvelle chronique très sympathique vient de tomber sur le forum de L'imaginarium :
(...) Phil Becker nous propose un récit poignant, intéressant, palpitant. Je ne peux qu'admirer une telle maîtrise pour un premier roman.